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La section Afrique, Océanie et Amériques du british Museum

  • Alain Foucaut
  • 18 janv. 2021
  • 2 min de lecture

Dans cette section, le musée héberge une grande collection d'objets de l’Afrique subsaharienne.

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Il y a aussi des œuvres des îles du Pacifique (Micronésie, Mélanésie et Polynésie) et des Maoris de la Nouvelle-Zélande,


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mais pas l'art des aborigènes de l'Australie, qui est traité comme une culture séparée.

Les collections des Amériques sont des cultures précolombiennes.


Statues Mayas

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Le musée a la chance d'avoir quelques-unes des collections océaniques les plus vieilles ; elles ont été rassemblées par les membres des expéditions de James Cook et de George Vancouver, ou par les administrateurs coloniaux, avant l'influence significative de la culture occidentale sur les cultures indigènes.


Serpent bicéphale en turquoise des Aztèques.

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Masques Aztèques:

Seigneur tourquise xiuhtecuhtli masque aztèque, 16e siècle

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Mosaïque de turquoises masque Quetzalcoatl, le serpent à plumes. Quetzalcoatl est une divinité méso-américain dont le nom vient de la langue nahuatl et a le sens de "serpent à plumes". Quetzalcoatl était lié aux dieux du vent, de Vénus, de l'aube.

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Un crâne de cristal est une représentation de crâne humain en cristal de roche. Ce type d’objet était très prisé des amateurs d'antiquités mésoaméricaines précolombiennes au XIXe siècle. Considérés à tort à l'époque comme représentatifs des cultures aztèque et maya, les exemplaires les plus prestigieux, fabriqués très probablement en Allemagne, étaient le « crâne de Paris » et le « crâne de Londres », qui ont fait l’objet de nombreux articles et dont le prêt a souvent été sollicité.

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Le crâne dit « de Londres » n'est pas translucide mais opaque. Il est considéré depuis la fin des années 1990 comme l’un des objets de Eugène Boban, qui l’avait tout d’abord proposé sans succès au Smithsonian Institute. Il est finalement acquis par Tiffany's, New York, à qui le musée le rachète en 1898 pour l’exposer comme objet précolombien. Le crâne de Londres a bénéficié d'une première analyse en 1996, puis d’une plus poussée en 2004, qui tendrait à prouver qu'il s'agit d'un faux.

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Des observations au microscope électronique ont permis de détecter sur la surface du crâne des marques droites et parfaitement espacées, qui apportent la preuve de l'utilisation d'une roue de polissage moderne. Un polissage manuel aurait conduit à la formation de minuscules traces réparties aléatoirement. Aucun d'eux n'a été mis au jour dans le cadre de fouilles archéologiques.

Visité en 2012.

Great Russell St, Bloomsbury, London WC1B 3DG, Royaume-Uni

Accès libre

Sources:


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